La porte et les neurones
Le projet du labo photo est lancé dans sa phase ultime. Le chantier est conséquent et devrait nous occuper un petit moment.
L'étape première est le remplacement de la vieille porte en patchwork de cochonneries par une porte de service saine et fiable. Nous avons jeté notre dévolu sur un modèle en métal galvanisé. (Effet industriel trendy-mon-chou garanti !)
Ficeler la bête sur le toit de la voiture pour la convoyer jusqu'au Kubb, fastoche. La découper aux dimensions voulues, idem. Reste ensuite à comprendre comment fixer le bâti métallique... Parce que contrairement à n'importe quel meuble Ikéa qui possède sa petite notice bien dessinée et ses petites pochettes avec toutes les vis et bidulons dedans, là, que pouic ! Même pas un petit machin explicatif écrit en franglais approximatif !
Chéri a déjà posé une porte en bois, mais la forme du bâti métallique est différente. C'est là qu'on a mis en route l'esprit d'équipe : j'ai repéré dans le bâti des petites pattes ondulées et Chéri a su quoi en faire. Il fallait simplement les redresser pour obtenir des pattes de scellement. Ma contribution s'est limité à tenir le fil à plomb, Chéri a assuré le gros du boulot (qui a dit "comme d'hab ?") Après coup, ce truc des pattes semble évident mais sur le moment, on s'est grillé quelques neurones !